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Satisfaction du client et des équipes : un équilibre entre relation de confiance et décloisonnement

Interviewé par les Acteurs de la compétence, notre Directeur général Éric Seyvos nous explique comment la richesse humaine et relationnelle ainsi que la diversité culturelle ont contribué à forger la culture d’entreprise de BM&A favorisant le décloisonnement et l’épanouissement professionnel de ses professionnels.

Du sens de nos métiers

Nous sommes un cabinet de conseil et d’audit. Or, on ne peut « bien auditer et bien conseiller que si l’on établit une relation de confiance avec le client ». « L’audit, c’est d’abord comprendre des situations. Les chiffres sont la traduction comptable d’opérations faites par des hommes qui effectuent des transactions, achètent, vendent, fabriquent. Nous sommes là pour identifier ce qui va et ce qui ne va pas, au regard d’un corps de normes établies. L’audit, étymologiquement, signifie « écouter ». C’est le socle : écouter, interagir, comprendre. La dimension humaine est fondamentale. D’une certaine manière, les techniques de l’audit sont simples à acquérir. Le reste est plus lent, mais aussi plus riche. Quand la confiance est là, vos interlocuteurs se livrent, en disent davantage, et c’est là que l’audit est de qualité. »

L’importance du développement de soft skills

Après avoir rejoint Salustro, acteur européen majeur de l’audit en 99, Eric Seyvos s’est vite intéressé aux développements de ce que nous ne nommions pas encore, les soft skills, et plus généralement aux bénéfices des formations de ces soft skills jusqu’à suivre un cursus durant plusieurs années, mené par des comédiens professionnels, à base de jeux de rôles notamment. Une fois chez BM&A, celui-ci a continué à faire évoluer ces formations avec de nombreuses sessions : apprentissage de la prise de parole, des interactions avec l’autre, mises en situation… en interne comme pour nos clients en directions financières. Une aventure passionnante pour notre directeur général qui précise que former est un art difficile.

Faire grandir nos collaborateurs, un bénéfice pour tous

Faire grandir nos collaborateurs est donc dans notre ADN. Et créer créer une relation de confiance et d’authenticité avec nos clients est aussi important pour nous. Or les deux sont liés : ce sont nos équipes qui permettent cette qualité de relation.

Nos professionnels maîtrisent leur métier et ont également besoin pour leur épanouissement de se sentir évoluer sans cesse, d’élargir leurs capacités et leurs expertises. A nous de le leur permettre ! Or, c’est en décloisonnant qu’on arrive à faire évoluer la pluridisciplinarité des professionnels et du cabinet. « On ne passe pas de 30 à 300 collaborateurs comme ça ! « Par exemple en travaillant sur des missions d’audit mais en parallèle aussi sur des missions d’évaluation, de TS et de conseil aux directions financières. « Ils développent des réflexes de recommandations qui sont la valeur ajoutée de nos audits » La seule contrainte pour le cabinet est la gestion des plannings ce qui peut paraitre complexe… mais ce qui fait aussi notre spécificité car tous les cabinets ne peuvent pas se le permettre. De ce fait, faire grandir nos équipes est l’obsession de tous les dirigeants opérationnels de BM&A.

Les facteurs de réussite d’une organisation décloisonnée

Pour commencer, nous connaissons les qualités de chacun de nos professionnels. Par ailleurs, une bonne coordination est indispensable notamment lorsqu’il s’agira de créer une équipe avec une personne de l’évaluation, une autre du support, de l’audit, et des transactions.

Ensuite, nous avons instauré un système où l’organisation est calée sur le souhait des collaborateurs qu’ils expriment chaque début d’année : par exemple faire 40% en audit, un peu de due diligence et un peu d’évaluation est chose possible. Donc quand un associé souhaite travailler avec une personne qui aura les qualités requises pour la mission, cette personne pourra lui exprimer un refus et en discuter avec le ou la manager RH du pôle. « Le seul invariant sera le respect de nos normes de déontologie et la satisfaction du client. »

Retrouvez l’interview d’Eric ICI