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Banque/ Assurance, Développement durable

Des avancées sur l’intégration du risque climat dans le cadre prudentiel bancaire

Dans une interview pour L’AGEFI, notre Directeur Associé au sein du pôle bancaire et réglementaire Thomas Verdin, soulève la question suivante :

« Faut-il pénaliser les activités considérées comme moins durables avec une surcharge en capital ou faut-il récompenser les banques exposées aux activités vertes en allégeant leur charge en capital ? »

Pour rappel du contexte, l’Autorité bancaire européenne (EBA) examine en ce moment la question de l’évaluation des risques et des risques de transition ainsi que l’ajustement des exigences de capital en prenant en compte les critères ESG (Environnement, Social, Gouvernance).

Cette étude stipule que les banques devront prendre en compte à partir de juin 2026, date d’entrée en vigueur du rapport, les risques climatiques dans leur cadre réglementaire.

« L’ objectif des accords de Bâle n’est pas d’interdire aux banques de prendre des risques, mais de s’assurer qu’elles ont le capital nécessaire pour le faire », rappelle Thomas Verdin.

Les banques devront être en mesure d’évaluer l’impact potentiel du changement climatique sur leur portefeuille de prêts et leur capacité à faire face aux chocs environnementaux.

Vous voulez en discuter avec Thomas Verdin ou réfléchir aux prochaines incidences pour votre établissement bancaire ? N’hésitez pas à le contacter directement ou à vous inscrire ici à notre Lettre d’Actualité Technique. Vous serez également prévenu de notre prochain webinar Réglementation & Banques.

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