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Conseils financiers, Audit légal et contractuel, Innovation

Le commissaire aux comptes, une carte maîtresse dès le lancement de la start-up et tout autant ensuite

Certes l’entrée en vigueur de la loi Pacte en 2019* n’oblige pas les start-up et scale-up à désigner un commissaire aux comptes (CAC). Toutefois se faire accompagner d’un commissaire aux comptes dès le début de son aventure entrepreneuriale a un vrai intérêt pour le futur de la société. C’est ce que nous explique Pierre-Emmanuel Passelègue, Associé Start-up & Scale-up dans La Tribune. C’est déjà souvent le cas des start-ups de la deeptech, biotech, du digital, de la santé et de l’innovation plus généralement . Les deeptech par exemple nécessitent des besoins de financement importants et rapides pour se développer. Le CAC permet alors de répondre aux ambitions et de crédibiliser/ sécuriser les états financiers.

Le commissaire aux comptes aura alors un rôle de partenaire stratégique à chaque étape de création de valeur de l’entreprise. Il permettra également de se prémunir contre des erreurs comptables significatives qui pourraient avoir des conséquences lors de moments clés (due diligence, IPO,…)

Maîtrise des règles comptables, expertise sur des sujets fiscaux et sur l’ensemble des outils de financement, compétences organisationnelles et juridiques, capable autant de prévenir des risques que d’informer de solutions de mise en oeuvre possibles, le commissaire aux compte spécialisé dans les start-ups et scale-ups est un allié précieux pour un développement serein et maitrisé.

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